Carte blanche aux publics

• 17h – 17h45 et 22h15 – 23h
• Esplanade ou Nabi si pluie

Accès libre

Sous un pseudonyme fidèle à ses inspirations, Angelo Muscionico propose un set de vibrations nostalgiques des années 80 avec des percussions italo-disco et des variations de samba.

• 18h – 18h30 et 21h 30– 23h
• Hall Central

Accès libre

Avec piano, looper, ukulélé et voix, Léonie Adler emmène les publics dans son univers musical folk-pop.

• 18h45–19h15 et 21h30–22h
• Exposition Jardin d’Hiver #1

Étudiante à la Haute école de musique du Valais, la violoniste donne un concert au cœur de l’exposition, face aux œuvres.

• 19h30–20h et 22h–22h30
• Grand escalier aile ouest

Accès libre

La chanteuse-compositrice étudie les musiques actuelles à la Haute École de Musique de Lausanne. Accompagnée de Vincent Andreae et Augustín del Pozo, elle interprète ses propres compositions, pour certaines inspirées par ses origines guatémaltèques.

Enfant, Céline Terrier avait pour peluche préférée une chute de tissu en soie qu’elle avait colorée en tie and dye. Une vingtaine d’années plus tard, un CFC ainsi qu’un diplôme de créatrice de vêtements en poche, elle réalise son rêve et crée sa marque de vêtements. Ses créations s’inspirent des mouvements du corps de la femme, telles les courbes des dunes de sables qui ne cessent de bouger, révélant parfois une ou deux épines à l’horizon. «Escalader les montagnes le jour, chausser mes stilettos le soir. Dormir sous tente une nuit, sous un baldaquin la suivante.»

Jo s’est faite connaître en dénichant des pièces de seconde main vendues dans des vide-dressings ou sur Instagram. Remise en question lors du confinement: la voie du stylisme s’ouvre à elle, et puis idée s’impose… Le Basket Bag voit le jour. Ses sacs faits main transfigurent des balles de baskeball ou de football américain, et cet accessoire liant mode, streetwear et sport, rencontre désormais un grand succès.

La boutique lausannoise propose des marques de streetwear suisses, et un concept unique: la possibilité de personnaliser t-shirts, hoodies ou bobs…

Fin 2020, Kimberly Davis, étudiante en gestion d’entreprise, donne naissance à Saycure, une marque de lunettes inspirée du mot anglais «secure», signifiant «sécurité», «confiance en soi». Elle dit avoir trouvé dans la mode un moyen d’expression et une manière de cacher ses insécurités. Avec ses créations, elle souhaite proposer une monture pour tout le monde, de la personne discrète à la personne la plus audacieuse, avec comme valeurs de fond: l’amour de soi et la diversité.

Rhoda Kate Moyo est originaire du Malawi; elle a passé plus de 15 ans en Australie avant de s’établir en Suisse. La mode, qu’elle aborde en autodidacte, lui permet de communiquer l’histoire, le style et la créativité de son héritage africain. Sa marque porte le titre de première marque de mode «African print» à Melbourne et a gagné de nombreuses récompenses telles que le «African Australian Designer of the year Award by Africa Media Australia», «National African Australian Award Winner in Fashion and Design» et le «Best Designer and Stylist award by the Switzerland Diaspora awards».